Trucs et astuces sur le miso

Il est très important d’ajouter le miso après la cuisson des aliments, de manière à conserver ses enzymes et sa flore intactes et actives afin qu’elles améliorent la digestion.

 

Pour ceux qui souffrent d’une intolérance alimentaire légère à moyenne, consommer un peu de miso avec l’aliment en cause. On peut aussi laisser reposer l’aliment en présence du miso; cela permet à ses enzymes d’hydrolyser les protéines et les sucres responsables de l’intolérance en question. Attention : cette suggestion ne s’adresse cependant pas aux personnes atteintes de la maladie cœliaque ou souffrant d’une allergie grave, chronique ou morbide; si cela est votre cas, vous devez tout de même éviter de consommer l’aliment responsable et suivre les recommandations des professionnels en la matière.

 

Le maïs en épi est délicieux, badigeonné d’un peu de miso au lieu du beurre. Il devient plus digeste et on réduit, du même coup, les risques de flatulence.

 

Ajouter un peu de miso à la compote de pommes, après cuisson, rehausse sa saveur.

 

Laisser mariner des viandes dans une sauce contenant un peu de miso les rendra plus tendres. Les protéases du miso commencent alors l’hydrolyse des protéines, attendrissant la viande et la rendant plus digeste.

 

Dans la préparation du pain, remplacer le sel par 1 c. à thé de miso fait en sorte que le pain lève mieux, grâce à la présence des amylases. D’ailleurs, l’industrie ajoute des amylases aux farines commerciales et elles sont issues des mêmes types de cultures que celles du miso.

 

Prendre l’habitude d’ajouter un peu de miso à tous ses aliments dans le but de se protéger contre les pathogènes tels que les bactéries E. coli, les salmonelles, Shygella, le staphylocoque doré, etc.

 

Ajouter du miso à ses fèves au lard facilite la digestion et diminue la production de gaz provoquant les flatulences.